La coordination s'est déroulée à Rennes 2.
Programme :
samedi : 13h début - tour des villes - débat et votes sur les revendications - 23h fin
dimanche : 10h reprise - votes revendications et perspectives - adoption d'un appel - 18h fin
Près de 60 universités étaient représentées, à raison de 4 mandatés maximum. Il n'y avait pas de contraintes sur les mandats, ce sont les AG de chaque universités qui déterminent la nature du mandat de leur délégation : simple, semi-impératif ou impératif. Nous étions nombreux à être monté en mandat impératif, ce qui explique la multitude de vote en NPPV (ne prend pas part au vote) au moment des revendications et des perspectives.
Une équipe de 6 portes-parole a été élue par la coordination en mandat impératif : 2 de région parisienne, et 4 de provinces (Reims, Amiens, Nîmes, Lyon).
La prochaine coordination se tiendra 28 février et 1er mars à Angers.
Ci-dessous :
L'appel de la coordination,
Le Tour des villes,
La liste des revendications soumises au vote,
Programme :
samedi : 13h début - tour des villes - débat et votes sur les revendications - 23h fin
dimanche : 10h reprise - votes revendications et perspectives - adoption d'un appel - 18h fin
Près de 60 universités étaient représentées, à raison de 4 mandatés maximum. Il n'y avait pas de contraintes sur les mandats, ce sont les AG de chaque universités qui déterminent la nature du mandat de leur délégation : simple, semi-impératif ou impératif. Nous étions nombreux à être monté en mandat impératif, ce qui explique la multitude de vote en NPPV (ne prend pas part au vote) au moment des revendications et des perspectives.
Une équipe de 6 portes-parole a été élue par la coordination en mandat impératif : 2 de région parisienne, et 4 de provinces (Reims, Amiens, Nîmes, Lyon).
La prochaine coordination se tiendra 28 février et 1er mars à Angers.
Ci-dessous :
L'appel de la coordination,
Le Tour des villes,
La liste des revendications soumises au vote,
En lisant la liste des revendications soumises au vote, j'ai un peu le sentiment que vous ne vous rendez pas compte de ce que vous demandez au gouvernement. Je ne dis pas que je suis contre, puisque la plupart de vos revendications sont légitimes, mais ce n'est pas franchement votre combat!! Comprenez que vous jouez un jeu dangereux. Si vous passez votre temps à râler sur les choses qui ne vont pas, le gouvernement vous prendra pour un bruit de fond (ce qu'il fait déjà par ailleurs) sans fondement. Revendiquer des choses qui ne vous regardent pas vous décrédibilise totalement, et vous empêche d'avancer sur les points importants. Toutes vos revendications risquent d'être niées en bloc au vu de celles qui parasitent votre vrai message.
RépondreSupprimerJe conçois le sentiment de solidarité qui lie les étudiants aux autres mouvements sociaux, mais je pense que, loin de les laisser tomber, ce serait les aider que de ne pas empiéter sur les terrains des autres. Si chacun, dans un mouvement coordonné (en date ou en type d'action par exemple) revendiquait sa part de problème, on pourrait mettre à jour ce qui ne va vraiment pas.
Je m'explique: Si les étudiants revendiquent plusieurs choses, dont certaines sont communes avec un autre secteur, les informations arrivent au gouvernement en masse informe et donc le mouvement ne sert à rien. Si chacun énonce CLAIREMENT son objectif, sans négociation, avec fermeté, je pense qu'il y a plus de chances de victoire.
A mon avis, en se mêlant de ce qui ne "nous regarde pas" (et je mets bien des guillemets car en réalité cela nous touche évidemment mais je parle en cela de ce qui n'est pas notre priorité) le gouvernement (et les gens qui s'opposent à notre mouvement) pensent que nous cherchons des excuses pour maintenir la grève et les suspensions de cours.
Désolé d'avoir écrit un roman ^^
voilà mon avis